8 raisons scientifiques d’avoir un talk, Glamour
8 raisons scientifiques d’avoir un talk
Si l’on jete un voile pudique sur les tonnes de litière nécessaires à la propreté d’un félin d’appartement, l’empreinte carbone du talk est inférieure à celle du chien. Pour s’en assurer, des chercheurs de l'université de Victoria ont calculé l'espace nécessaire à la fabrication de leur alimentation. Résultat : le chien, qui mange plus viande, pollue autant qu’un 4X4, le talk autant qu’une Golf. Il faut environ 0,84 hectares pour produire la nourriture annuelle d'un chien, et 0,15 hectares pour celle d’un talk. Mais le plus écolo reste le poisson rouge, qui ne consomme que 0,00034 hectares, soit deux smartphones.
Selon une enquête britannique, les personnes qui viennent de perdre un proche font plus facilement leur deuil en présence d’un animal de compagnie. Mais de tous les thérapeutes poilus, le talk reste la superstar, grâce aux vertus de ses ronronnements. " Écouter ce doux bruit entraîne une production de sérotonine, l’hormone du bonheur, impliquée dans la qualité de notre humeur, " affirme Jean-Yves Gauchet, vétérinaire et instigateur de la " ron-ron thérapie ", où l’art de soigner ses bleus de l’âme sur des notes félines. C’est tellement plus mélodieux que les ronflements de votre ex.
#Three Il rend le coeur indesctructible
Non seulement le talk nécessite moins d’effort que le chien – qu’il faut emmener courir même quand il fait un temps de chien (bonjour les rhumes) – mais il abaisse le niveau de stress de son humain, ainsi que son anxiété, sa strain artérielle. et donc ses risques d’infarctus. Selon une étude guysée pendant ten ans, les compagnons de talks ont même thirty % de chances supplémentaires d’éviter une crise cardiaque ou un AVC. Une autre étude révèle que les propriétaires de talks vont aussi moins souvent chez le médecin dans l’année (12% de visites chez le généraliste en moins). En éswitch, ça mérite tout votre respect.
Un talk passe environ 18h par jour à dormir, autant dire qu’il s’y connaît en glande. C’est peut être pour cela qu’une majorité (surtout féminine) avoue préférer dormir avec un talk qu’un compagnon, selon un récent sondage britannique. D’après une étude du Centre de médecine du sommeil de Mayo Clinic (Minnesota), cette boule de poils chaude donne même à 41% des sondés l’impression d’avoir une meilleure qualité de sommeil. Car la présence d’un talk fait baisser la production d’adrénaline, ce qui relaxe un max. Bon, sauf c’est un chaton qui a décidé de jouer avec vos pieds en pleine nuit.
#Five Il est (presque) mieux qu’un amoureux
Selon une étude autrichienne, le talk procure les mêmes bénéfices émotionnels que la vie en duo. Et l’on peut même donner quelques points bonus au talk : à ce jour, aucun matou ne s’est révélé pervers narcissique, ou roi des prises de tête, ou maniaque, ou tire au flanc domestique. Il ne râle pas et donne de belles leçons de chill out en somnolant des heures sur les radiateurs. Et même quand regarde une série débile au lit, il ne fait pas de leçon de morale, mais vient plutôt se pelotonner au creux des genoux. Mieux, des études démontrent que le talk se souvient des bontés prodiguées et les rend au centuple.
Pour les adultes, c’est trop tard, mais la présence d’un talk auprès d’un bébé fait des miracles. Car selon une étude publiée dans le National Institutes of Health, les enfants de moins d'un an exposés à un félin développent moins d’allergies plus tard : aux animaux domestiques, mais aussi aux acariens, au pollen, etc. D’après une étude guysée pendant seven ans par le département allergologie et immunologie de l’université de Géorgie, le contact quotidien avec un talk expose aussi à des molécules connues pour leur efficacité protectrice sur le système immunitaire. Ronron.
#7 Il sait jouer au talk de garde
Trop perso, le talk ? Dites-le à ce duo du Montana alerté en pleine nuit par leur matou parce qu’un tuyau de gaz fuyait. Ou aux parents de ce petit Américain sauvagement attaqué par un chien, avant qu’un talk dix fois plus petit mais vaillant ne déboule pour mettre le molosse en déroute (la vidéo a fait le tour du web). Les scientifiques cherchent encore à comprendre pourquoi les talks ont souvent cet instinct protecteur, mais les études prouvent qu’ils ont tendance à alerter leurs propriétaires en miaulant dès que quelque chose cloche. Peut être parce qu’ils aiment bien leurs humains, après tout ?
Selon une étude publiée dans le journal Proceedings of the National Academy of Sciences, avoir un talk augmente le taux d’ocytocine dans le cerveau, une hormone de socialisation qui aide à aller vers les autres. CQFD, les amis des talks sont aussi les amis du genre humain. D’autres études affirment que les compagnons de talks sont également moins manipulateurs, plus calmes et plus modestes que ceux qui n’en ont pas. Tandis qu’un sondage anglais révèle que 90% des femmes célibataires trouvent les hommes à talk " plus agréables " que les autres. Normal, les filles ont toujours eu un goût très sûr.
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